La toile en parle depuis la session questions-réponses de Mark Zuckerberg du 15/09/2015 : Facebook travaille sur un « dislike button » (bouton « je n’aime pas »).
Pas tout à fait, en fait, puisque Mark a mentionné que
« les gens ne recherchent pas vraiment la possibilité de mettre un vote négatif sur une publication, mais plutôt de montrer de l’empathie quand une personne partage un moment difficile de leur vie ou de l’actualité »
Facebook travaillerait donc plutôt sur un bouton qui permettrait aux utilisateurs de montrer qu’ils compatissent à certains messages.
Quelle que soit la forme que prendra ce nouveau bouton, Facebook désire donner la possibilité à ses utilisateurs d’exprimer une gamme plus large d’émotions, ce qui est une très bonne nouvelle pour les professionnels du marketing.
Pourquoi ?
Car les options de ciblage proposées par Facebook vont devenir de plus en plus puissantes.
Pour le moment, avec un unique bouton « like », la gamme d’émotions que les algorithmes de Facebook peuvent interpréter est très réduite. Ils peuvent uniquement déterminer si quelqu’un a aimé une publication ou pas.
Ajoutons un bouton (ou plusieurs), et c’est autant d’informations que les algorithmes de Facebook seront en mesure d’interpréter pour dresser des profils toujours plus précis de ses utilisateurs.
Alors pourquoi est-ce une bonne nouvelle pour les marqueteurs ?
La réponse est simple. En marketing, données = pouvoir.
Plus une campagne de marketing est ciblée de manière précise, plus elle est efficace. En améliorant ses capacités d’établir des profils d’utilisateurs toujours plus précis, Facebook offre en fait la possibilité aux professionnels du marketing de construire des campagnes toujours plus efficaces.
Imaginez la possibilité de déterminer avec précision quelles personnes seront intéressées par le type de produit ou de service que vous proposez, et quelles personnes ne le seront pas. Chaque euro dépensé le serait alors à bon escient. C’est le Saint Graal du marketing.
Bien sûr, un simple bouton « dislike » ou « compatir » ne permettrait pas encore d’atteindre un tel niveau de précision, mais ce serait déjà une belle avancée vers une ère qui s’annonce très intéressante pour les marqueteurs.
Retrouvez la session questions-réponses de Mark Zuckerberg en intégralité sur https://www.youtube.com/watch?v=oK_84CDpzf4 . La question sur le « dislike button » commence à 1:42.
Si vous souhaitez que vos réseaux sociaux soient gérés professionnellement, n’hésitez pas à consulter le lien suivant pour en savoir plus sur les services proposés par Publimats: https://www.publimats.be/marketing-reseaux-sociaux/
Publimats est une agence de communication spécialisée dans le webmarketing.